Lu dans la presse
«...Cette
musique composée lui vient également d'une
grande connaissance des traditions,
faisant appel aux maqams orientaux, aux
rythmes du Maghreb, à la musique
arabo-andalouse et à un. sens profond de
l'hymnologie islamique autant
qu'hébraïque. Il se dégage de cette oeuvre
une grande émotion, une juste retenue qui
contribue à en renforcer l'efficacité et
l'impact direct. Chant et musique allient
sobriété et force convaincante. Comme le
titre l'indique, ce chant est
effectivement vivant, il n'est pas
démarche figée mais création
contemporaine. »
Répertoire
|
|
«...Dialogue
des cultures dans l'esprit du creuset à la
fois hébraïque, musulman et chrétien de
l'Age d'Or de l'Andalousie. Entre chant
sacré et profane, avec luth, violon,
cithare et percussions, Simon Elbaz
enrichit sans cesse avec humour le
patrimoine millénaire dont il est un
ingénieux gardien.»
Le Monde de la
Musique
|
«...Gardien fidèle d’un
patrimoine millénaire qu’il enrichit sans
cesse, Simon Elbaz se livre dans Matrouz à
cet art subtil de la poésie brodée où les
supplications d’amour se transforment en
prières universelles»
L’Express
|
«...tout en gardant en
mémoire les cantilations juives et
musulmanes de son enfance, il renouvelle
aujourd’hui le genre avec son oûd,
en croisant rythmes et langues: arabe
et hébreu, mais aussi français, espagnol,
latin, où le chant médiéval n’est jamais
loin.»
Libération
|
Le Matrouz de Simon
Elbaz, expression de la tradition chantée
judéo-arabe.
«
À travers son affirmation identitaire et
culturelle hébraïque, par la valorisation
de la tradition populaire
arabo-berbéro-musulmane, par
l’entremêlement savoureux de langues,
musiques et chants emblématiques des
civilisations judéo-islamo-chrétienne, le
Matrouz de Simon Elbaz représente un
vecteur de communication qui participe
d’un fructueux dialogue des
cultures. »
Qantara
|
Simon Elbaz, le
troubadour marocain du Matrouz
«...Avec ses textes à la frontière
du sacré et du profane, Simon Elbaz livre
une parole sans irrévérence, personnelle et
authentique, parfois incantatoire comme la
mélopée clairvoyante du mendiant aveugle
qui, dit-il, s’il pouvait parler la langue
des autres pour survivre, le ferait.»
L’Arche
|
«...on ne
peut s’empêcher de trouver à ce disque des
charmes heureux, à commencer par sa
sincérité, sa droiture et cette sorte
d’austérité qu’ont les entreprises
désirées par les âmes justes.»
World
|
|
|
Tissage des langues,
Métissage des cultures
«...Simon
Elbaz chante en arabe, hébreu, latin dans
l'esprit du Matrouz, un patrimoine
millénaire qui s'enrichit de la variété
des cultures. Une invitation à la
connaissance de l'autre et au respect
mutuel. Faire rencontrer les langues pour
faire se rencontrer les hommes.»
Nouvelle cité
|
«...Chanteur et joueur de oûd,
Simon Elbaz s'est essayé à divers styles
avant de se consacrer aux savants tissages
musicaux du Matrouz. Exemple de
réconciliation judéo-christiano-musulmane,
il a depuis étendu cette construction
particulière à d'autres langues que l'hébreu
et l'arabe originels.»
Le Monde
|
De la tradition à la
création
« En
portant sur le devant de la scène le
Matrouz, Simon Elbaz nourrit de ses
racines ancestrales les bourgeons à venir.
Son chant profond venu de loin, fait écho
à des impressions glanées ça et là dans
son enfance marocaine. Outre l’hébreu,
l’arabe et le judéo-arabe se croisent
aussi le français, l’espagnol et le latin.
Ce rapprochement des langages et des
musiques s’harmonise comme prélude à un
autre rapprochement, celui des communautés
et des peuples ; à un dialogue de
cultures qui ont une seule et même source:
la bible. Mais, sacrée ou profane, la
mélopée est toujours sobre, portée par une
voix nuancée, sensible, riche de
modulations, un rien frémissante dans ses
vibratos. Et, accompagnée par un luth,
elle continue la tradition médiévale.... »
La marseillaise du
Vaucluse
|
Musique brodée
«...Mais s’il fait oeuvre de
mémoire et s’inspire du patrimoine
hébraïque, il fait aussi oeuvre de création
et d’ouverture : il tisse dans sa
broderie musicale, qui reste avant tout une
émotion, les fils d’autres langues
croisées : le judéo-espagnol, le
berbère, le latin et le français.»
Actualité juive
|
«...Simon Elbaz s'intéresse
depuis longtemps à cette tradition
ancestrale qu'il enrichit de notes
actuelles, conjuguant passé et présent, dans
la langue de la tolérance»
Trad Magazine
|
|
|